Le débat NEO
#debatNEO Le debat public sur la nouvelle entrée ouest
A221 • Sortir d'un espace contraint.
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Problème 1 : quelle continuité donner à la Nouvelle Route Du Littoral ? Comment raccorder la Nouvelle Route du Littoral (NRL) au boulevard Sud ? Comment raccorder la Nouvelle Route du Littoral à la RN2 ? Ces raccordements doivent-ils se faire au même endroit ?
La NRL est en viaduc. Comment sera-t-elle raccordée au Boulevard Sud : il n’y a pas d’élément sur ce sujet dans le dossier de concertation. La consultation nous contraint à un espace limité, à partir de la Rivière St-Denis .
Comment trouver une « bonne » solution à un problème posé de manière tronquée ?
Lors du projet de tracé de la NRL, les conditions et les difficultés de la traversée de St-Denis étaient connues. L’opportunité de faire évoluer les conditions de la traversée de St-Denis n’a pas été saisie. Pourquoi ?
Tout semble « forcer à » réaliser des passages en souterrain ou des remblais : pourquoi aucune solution aérienne n’est envisagée pour l’aménagement du Barachois ?
Problème 2 : A St-Denis, comment un piéton peut-il traverser en sécurité des voies à grande circulation (boulevard Sud, RN1 et RN2) ? Quelle place pour les non-motorisés dans la ville ?
St-Denis est ceinturé par des voies rapides. Les franchissements souterrains fonctionnent peu (RN2-Patates à Durand, Boulevard Sud-Rue Lyautey) ils sont sombres ou squattés.
Un passage souterrain est utilisé régulièrement sur le boulevard Sud au niveau du Parc de la Trinité : il est peu utilisé comme alternative à la traversée des 5 voies. Une passerelle piétonne est exclusivement pour les étudiants de la faculté du Moufia.
La problématique des traversées des voies et des accès au littoral n’est pas spécifique à la zone du Barachois. Il serait utile de trouver des solutions transférables à d’autres sites.
L'avis détaillé est en pièce jointe.
En résumé : avis défavorable sur les projets de remblais et de tranchées couvertes/ouvertes ; avis plutôt défavorable sur les projets de tunnels.
Conclusion : Poser le problème dans un espace contraint, revient finalement à gaspiller du foncier ailleurs. L’argument principal du projet est pourtant un manque d’espace. L’exiguïté de l’île nous oblige pourtant à une gestion responsable, économe et durable du foncier.
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