Débat public - Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs
#debatPNGMDR Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs
A294 • L'industrie de la fission de l'uranium-235 est toxique
Retenue
Cette industrie laisse aux générations futures un fardeau énorme dont nous ne savons que faire (plutonium-239, produits de fission, déchets, résidus miniers, contamination des nappes phréatiques, démantèlement, accidents non assurés, pollution, prolifération, terrorisme, gabegie des deniers publics pour des siècles et des siècles, charge de la dette et du fardeau aux générations futures en hypothéquant leur avenir, violation de leurs droits, de ceux de l'homme...). C'est un racket de l'argent public avec mise en danger de la vie d'autrui sur des générations et des générations. C'est un crime d'empoisonnement, un crime en bande organisée (éco-mafia), un mensonge d'État et un crime d'État (lobby nucléaire = État dans l'État) car on utilise l'argent du peuple, contre lui, sans jamais lui demander son avis (on nous oblige à jouer à la roulette russe en nous faisant payer le révolver et la balle. C'est pervers, immoral et criminel. Nous n'avons rien à gagner mais tout à perdre).
Concernant ce débat, la priorité absolue est de demander l'avis du peuple pour sortir de cette industrie toxique (référendum). Nous n'avons rien à perdre mais tout à gagner. C'est gagnant-gagant, contrairement à subventionner une industrie toxique (perdant-perdant à long terme). L'argent public doit servir à booster les meilleures techniques énergétiques (sources renouvelables et économies d'énergie) et pas à nous jeter dans le précipice avec une industrie toxique qui n'a jamais été au point et qui ne le sera jamais (ringard).
Aucune décision concernant la gestion du fardeau légué par nos parents ne doit être prise sans l'accord du peuple avant la sortie de cette industrie toxique. En sortir est un devoir (devoir de résistance, dans l'intérêt supérieur de l'humanité). Ce n'est qu'ensuite, que nous pourrons décider de ce que nous en ferons mais il va falloir l'assumer sur des siècles et des siècles et non pas abandonner les miettes sous le tapis (GIGEO).
Se tromper est humain. On apprend en se trompant et on peut pardonner l'erreur (dans le bénéfice du doute car les 400 physiciens nous avaient déjà prévenus que c'en était une en 1975 et ils n'ont pas été écoutés par le pouvoir politique). Par contre, persévérer dans l'erreur est un crime (comme jeter les miettes sous le tapis pour pouvoir poursuivre l'industrie toxique). Les générations futures ne pourront pas nous le pardonner (tout comme l'inaction face au réchauffement climatique à cause du pouvoir politique qui n'écoute jamais ses scientifiques mais uniquement ses économistes orthodoxes aux théories foireuses et toxiques en ne faisant que les instrumentaliser pour qu'ils créent des industries foireuses et toxiques avec une vision court-termiste). La croissance infinie obtenue avec une augmentation constante de la consommation d'énergies sales et polluantes dans un monde fini est un concept ringard qui entraîne le dumping environnemental et social par la subvention massive de la pollution avec de l'argent public (pollué-payeur, pollueur-payé).
Il faut changer de paradigme (pollueur-payeur) : renoncer aux sources d'énergie de flux pour aller vers les sources renouvelables et les économies d'énergie et renoncer à la croissance infinie dans un monde fini (en sortant du PIB et de l'économie orthodoxe, en allant vers l'IDH : indice de développement humain maximal obtenu avec une consommation d'énergie minimale pour tous).
Renoncer à une industrie toxique n'est pas la fin du monde mais la fin d'un monde pour entrer dans un autre, créateur d'emplois (circuit court, échange, partage des formes d'énergie sous toutes leurs formes, auto-production, auto-consommation, décentralisation du réseau, bio, recyclage "vrai" pas le "faux" du combustible toxique de l'industrie toxique de la fission de l'uranium-235).
Nous n'avons pas (ou plus) le choix.
Le plus vite est le mieux.
Ne pas y renoncer signe notre arrêt de mort.
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