Débat public - Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs

Empreinte numérique

Le texte ci-dessous est une représentation raccourcie et hachée de ce contenu. Il est utile de s'assurer que le contenu n'a pas été falsifié, car une seule modification entraînerait une valeur totalement différente.

Valeur: 73382eeea600d40d12b100586ef2b7f48005ac34aaaabecba2b82383de51883b

Source: {"body":"<p>La création de la Commission du Débat Public est une excellente idée dans une démocratie. Elle permet d’apporter des informations avec beaucoup de pédagogie et de faire débattre les citoyens sur les projets complexes qui les concernent.\r\nAu début, il s’agissait d’organiser des réunions dans toute la France pour les projets nationaux ou dans un périmètre plus réduit pour des projets locaux, afin que les citoyens soient informés par les porteurs du projet, qu’ils puissent poser des questions et ainsi se faire une opinion. En outre, il est apparu que lors de ces débats certaines discussions ont permis de faire évoluer le projet lui-même.\r\nMais comme dit dans le premier paragraphe, encore faut-il être dans une démocratie ? Il faut que des gens puissent s’informer librement et sans entrave. Mais sommes-nous encore dans une démocratie quand la violence tient lieu de débat ?\r\nOr des projets comme les nanotechnologies ou le précédent débat public sur le stockage à long terme des déchets radioactifs à durée de vie longue ont vu les réunions immédiatement perturbées par des opposants violents qui ont empêché les citoyens honnêtes de venir s’informer auprès du maître d’ouvrage du projet et de débattre avec lui.\r\nIl a fallu imaginer de débattre sur internet ce qui pour une majorité de citoyens est moins pédagogique qu’une discussion locale apaisée et dans le respect des participants et surtout moins interactif.\r\nHélas ce débat public n’échappe pas à cette triste pratique. Certaines réunions n’ont pas pu se tenir en raison des perturbations des opposants qui n’ont même pas permis au maître d’ouvrage de s’exprimer et qui ont fait fuir les citoyens désireux de s’informer et de débattre. Dans d’autres cas, les opposants se tenaient à l’entrée de la salle de réunion car ils avaient compris qu’ils n’étaient pas suffisamment nombreux. Alors, ils ont perturbé les réunions par du bruit et des pressions sur les participants de bonne foi.\r\nBref, il est devenu indispensable de se poser la question de savoir si nous sommes encore dans une démocratie authentique ou si nous sommes progressivement devenus dominés par les ayatollahs verts qui se donnent le nom d’écologistes qu’ils ne sont pas mais qui se comportent comme de véritables dictateurs à chemises brunes. Drôle de représentation d’un gouvernement écologiste !\r\nEt pendant ce temps de débat, nous savons que des zadistes s’installent sur la zone du projet CIGEO, bien encadrés par les black-blocks, qui ne souhaitent que l’affrontement violent avec les forces de l’ordre.\r\nFaut-il dans ces conditions continuer à faire essayer de vivre cette formule du débat public. Si l’on répond non à cette question, il faut reconnaître que nous sommes dans une régression démocratique dommageable pour notre pays.</p>","title":"La création de la commission du débat public est une excellente idée dans une démocratie."}

Cette empreinte numérique est calculée à l'aide d'un algorithme de hachage SHA256. Pour le reproduire vous-même, vous pouvez utiliser un calculateur de hash MD5 en ligne et copier-coller les données. ×