Débat public - Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs
#debatPNGMDR Plan national de gestion des matières et déchets radioactifs
A371 • Le grand paradoxe des ONG vis-à-vis de Cigéo
Retenue
Depuis des années, les associations écologistes – avec Greenpeace en pointe – assurent à qui veut bien l’entendre qu’il faut à tout prix stopper le projet Cigéo. L’enfouissement des déchets les plus radioactifs n’est pas la bonne solution selon eux et il faudrait donc ne pas entamer un projet dont le coût est de plus de 10 milliards d’euros. Très bien, mais qu’elle est la solution de rechange ? Il faut bien faire quelque chose de ces déchets ! Pas un mot des ONG sauf un beau hors sujet qui consiste à dire « fermons toutes les centrales ». Dans ce cas, les déchets à stocker vont s’accumuler rapidement. Que faire alors ? Fermer les centrales ? Elles le sont déjà dans ce scénario…
Greenpeace et consorts critiquent tout sur des bases scientifiques souvent peu solides et ne proposent rien. La solution de facilité pour des gens qui ont le quasi-monopole de la parole, mais qui ne font rien concrètement pour assurer un avenir sûr.
Et aujourd’hui, paradoxe ultime, Greenpeace s’inquiète de voir le projet Cigéo trop petit car la quantité de déchets aurait été sous-évaluée. Le futur site Cigéo est trop étroit, (selon la thèse des responsables de Greenpeace) et donc on tire la sonnette d’alarme. Auraient-ils oublié que Cigéo n’est pas la solution et que sa dimension plus ou moins grande ne constitue pas un problème ? Cela donne l’impression que les ONG prennent les arguments à la volée, au gré du vent, en ayant oublié ce qu’ils disaient hier. Pas de suivi, beaucoup d’esbroufe et de publicité…
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